blog de l'équipe du Comparateur de vols Trabber

Les agences de voyage « physiques » vendent moins de billets d’avion que les agences en ligne, révèle la dernière étude internationale menée par le guide de restaurants et de destinations Zagat, parue cette semaine. 64% des réservations de vols se font désormais en ligne, contre seulement 8% dans les agences de voyage.
Aujourd’hui, 64% des réservations de vols se font en ligne, contre 60% en 2008, et 55% en 2005. A l’inverse, seulement 8% des réservations de vols passent par des agences de voyage, contre 17% en 2007 et 25% il y a quatre ans.

Ces chiffres montrent que les consommateurs ont une tendance forte à aller sur le site Internet de la compagnie aérienne pour faire leurs réservations, tandis que des sites de spécialistes du voyage comme Expedia ne décollent pas, stagnant à 15% de part de marché depuis trois ans, rapporte l’étude de Zagat.

Cette étude a été réalisée en ligne auprès de 5.895 voyageurs aériens fréquents et professionnels du tourisme qui, au total, ont réalisé 97.600 vols par an.

Les tarifs des billets d’avion explosent pour les départs prévus le lendemain de Noël, le 26 décembre. Les touristes devront compter notamment avec une augmentation de 35% sur un an pour Montréal pour avoir la chance de passer le Nouvel An outre-Atlantique. L’aller-retour pour Prague gagne même 57% et grimpe à 466 euros.

Cette semaine, neuf destinations présentent des tarifs au-dessus de 1000 euros. Rio de Janeiro par exemple, en légère hausse de 3%, est à  2128 euros pour une semaine fin décembre, son nouvel an sur la plage de Copacabana par plus de 30°, offrandes à Yemanja, déesse de la mer, samba et feu d’artifice…

Les destinations nord-américaines mais aussi asiatiques n’échappent pas à la donne. Los Angeles et Londres s’affichent respectivement à 1209 euros (+11%) et 1186 euros (+19%). Bangkok, bien qu’en baisse de 15% sur un an, est à 1233 euros.

Sur cinq à six ans, l’industrie aéronautique française veut obtenir 800 millions d’euros pour compléter ses recherches sur les avions qui verront le jour à partir de 2020 et compte sur le grand emprunt pour financer ses travaux. Cette somme est jugée « raisonnable », au vu de l’enjeu que constitue le maintien de l’avance technologique française face à l’émergence d’une industrie russe et chinoise, a souligné, jeudi 8 octobre, le directeur général d’Airbus, Fabrice Brégier, devant l’Association des journalistes professionnels de l’aéronautique et de l’espace (AJPAE). Russes et Chinois ont en effet décidé de s’attaquer au duopole Airbus-Boeing sur le créneau des avions moyens courriers, de 110 à 220 sièges, qu’ils se partagent avec l’A320 et le 737.

source: lemonde

L’aller-retour pour la Grande Pomme s’affiche à 499 euros en moyenne pour un départ le 24 octobre, au commencement des vacances de la Toussaint. A part New York, les long-courriers dépassent tous les 500 euros mais aucun n’augmente par rapport à l’an dernier. La Réunion applique le seul tarif au-dessus de 1.000 euros (1.329 euros) bien que le prix moyen diminue de 6% sur un an. Go Voyages relève toutefois que les touristes peuvent économiser 300 euros en partant du 22 octobre au 1er novembre.

source: libération

La première livraison à All Nippon Airlines devrait avoir lieu fin 2010, avec deux ans et demi de retard sur son calendrier initial. Le premier vol d’essai est prévu avant la fin de l’année.

source: lefigaro

Le premier vol de l’appareil devait initialement avoir lieu à l’automne 2007, mais des problèmes de production et d’assemblage ont contraint le constructeur aéronautique américain à repousser la date à cinq reprises. Quant aux premières livraisons, elles ont pris plus de deux ans de retard sur le programme initial.

Un étranger sur deux arrivant en Espagne en avion a pris un vol à bas coûts en juillet, un mode de transport de plus en plus prisé par les Allemands, les Français et les Italiens en temps de crise, selon des chiffres publiés lundi par le ministère de l’Industrie.

Faire payer les repas ou les places près du hublot: les compagnies aériennes rivalisent d’astuces pour réaliser des économies ou s’assurer de nouvelles recettes en temps de crise, au risque de mécontenter leurs passagers.

British Airways a annoncé cette semaine envisager de rendre payants une partie des services actuellement gratuits, comme les repas offerts à bord de ses avions.