blog de l'équipe du Comparateur de vols Trabber

La compagnie aérienne japonaise Japan Airlines a annoncé son intention de supprimer 29 liaisons internationales et 31 liaisons domestiques d’ici un an, dans un effort de restructuration qui suit son dépôt de bilan de janvier dernier.

Les liaisons Rome – Narita et Londres – Kansai International figurent parmi les vols internationaux supprimés, ainsi que les routes entre Kansai et Sao Paulo, Bangkok et Pékin, ou entre Narita et Milan. En revanche, de nouvelles liaisons entre Haneda et Paris ou San Francisco feront leur apparition. Japan Airlines, membre de l’alliance Oneworld, devrait donc n’avoir plus que 43 destinations internationales à son catalogue contre 65 actuellement.

Les suppressions sur les vols intérieurs concerneront principalement des lignes déficitaires entre villes de moyenne importance. Les deux aéroports de Nagoya au centre du pays, Chubu/Centrair et Nagoya Airport, seront particulièrement touchés avec 13 liaisons retirées du catalogue, dont celles avec Sapporo et Sendai. Chubu verra également son activité internationale passer de huit à trois liaisons. Autres aéroports touchés, Kagoshima, Matsuyama et Yamagata qui perdront respectivement quatre, trois et deux liaisons intérieures. Kagoshima est surtout victime de l’ouverture en novembre prochain d’une ligne de train à grande vitesse Shinkansen qui sera en compétition directe avec l’avion sur les trajets entre la ville et Okayama ou Hiroshima.

source: Air Journal

Dans un document publié jeudi, l’Association du transport aérien international (Iata) révise ses prévisions pour le secteur. Les compagnies aériennes devraient réduire leurs pertes de moitié cette année, à 2,8 milliards de dollars (au lieu des 5,6 milliards annoncés en décembre). Une amélioration due à une demande plus vigoureuse que prévu. L’Iata a même revu à la baisse les pertes du secteur pour 2009 : 9,4 milliards de dollars au lieu des 11 milliards annoncés dans ses dernières prévisions.

Première cause de cette embellie : la reprise demande. Dans le secteur passagers (qui avait reculé de 2,9% en 2009) la demande devrait croître de 5,6% cette année. Idem dans le fret où demande qui avait diminué de 11,1% en 2009, devrait augmenter de 12% en 2010. Reste que cette reprise s’accompagne, et continuera de s’accompagner, de fortes disparités régionales (voir encadré). « Les passagers reviennent dans les avions », a noté Giovanni Bisignanin le directeur de l’IATA qui représente 230 compagnies revendiquant 93% du trafic régulier mondial. Et d’ajouter « C’est encore une perte, il n’est pas encore l’heure de se réjouir, mais c’est très positif pour l’industrie » du transport aérien.

Ainsi le redémarrage économique sur les marchés émergents d’Asie-Pacifique et d’Amérique latine s’est-il traduit en janvier par des hausses dans le secteur passagers de 6,5% et 11% respectivement, alors que l’Amérique du Nord et l’Europe affichaient respectivement de 2,1 % et 3,1 %.  » Nous sommes devant une industrie à deux vitesses. L’Asie et l’Amérique latine sont en tête de la reprise. Les marchés internationaux les plus faibles sont l’Atlantique Nord et le marché intra-européen qui sont en baisse depuis le milieu de 2008 « , ajoute Giovanni Bisignani.

Autres points positifs : les coefficients de charge et les revenus. « Une forte reprise en fin d’année a fait grimper les coefficients de charge à des niveaux record, si on tient compte des fluctuations saisonnières », souligne l’Iata. En janvier, le coefficient d’occupation dans le secteur passagers international était de 75,9% et celui du fret de 49,6%. Du mieux aussi côté du chiffre d’affaires global qui devrait atteindre 522 milliards de dollars.  » Les revenus sont à mi-chemin en termes de reprise – 42 milliards de dollars sous le record de 2008 et 43 milliards de dollars au dessus de ceux de 2009″, note l’association.

L’aéroport, encore. Cette fois, on ne remet pas le tarmac sur le tapis pour cause de tracts, mais parce qu’en portant plainte contre Ryanair auprès de la Commission européenne, jeudi, Air France a relancé la polémique sur les accords conclus entre les aéroports locaux, dont Bergerac, et la compagnie low-cost irlandaise. Ce n’est pas nouveau : Air France a toujours accusé Ryanair de toucher des subventions déguisées en aides publiques, « illégales ». La compagnie low-cost bénéficierait ainsi de « rabais sur redevances, de tarifs préférentiels d’assistance en escale ou encore des aides marketing ». La commission étudie cette nouvelle plainte, qui arrive un an après que la Cour européenne de justice a écarté ce soupçon d’illégalité…

Mais le contexte est différent : depuis quelques mois, plusieurs collectivités se montrent excédées par les méthodes de Ryanair, qui fait monter les enchères, et les tarifs des aides négociées, en profitant de la concurrence des aéroports. Sauf en Dordogne.

ci, aucun élu ne reproche quoique ce soit à l’avionneur publiquement (en privé, c’est autre chose…), pour ne pas le froisser. C’est que Ryanair est quasiment en monopole à Bergerac. Et même si l’aéroport se sent à l’abri d’un départ précipité de la compagnie, un tel scénario fait trembler. Mais le secret des accords avec Ryanair, à nouveau incriminés, est bien gardé. Motus pour cause de concurrence avec les autres aéroports. Alors, c’est encore le rapport de la Chambre régionale des comptes, publié en janvier 2008, qui est le plus bavard. Bergerac a « choisi de se plier » aux « contraintes » de Ryanair, est-il écrit.

TAP Portugal opèrera désormais 7 vols quotidiens vers Lisbonne contre 4 auparavant et 4 vols quotidiens au lieu de 3 vols vers Porto. Ces nouvelles fréquences seront mises en service à partir du 28 mars prochain.

Avec l’augmentation de ces fréquences, TAP Portugal vise à optimiser les correspondances vers ses destinations d’Amérique du Sud, d’Afrique (Dakar, Johannesburg, Luanda, Maputo, Praia, Sal, São Tomé et Principe) et d’Amérique du Nord (New York).

Les vols vers le Brésil sont particulièrement mis en avant, TAP étant l’une des principales compagnies aériennes vers ce pays.

Ces nouvelles fréquences permettront d’optimiser les correspondances vers Belo Horizonte, Brasilia, Fortaleza, Natal, Recife, Rio de Janeiro, Salvador de Bahia et São Paulo au Brésil et vers Caracas au Vénézuela.

Par ailleurs afin de faciliter la vente des billets, TAP offre désormais la possibilité d’acheter uniquement des allers simples à partir de 91 euros vers Lisbonne et 81 euros vers Porto.

La compagnie française accuse sa concurrente de percevoir 660 millions d’euros d’aides illégales en Europe.

On n’arrête plus Ryanair. La compagnie low-cost, qui propose des prix imbattables et ouvre chaque mois de nouvelles destinations, va devenir cette année le premier transporteur européen. Avec 65 millions de passagers, elle passerait devant Air France et Lufthansa. Cette réussite flamboyante s’appuierait toutefois sur un recours à des aides illégales provenant des aéroports desservis.

Selon Air France, ces aides se seraient élévées à 660 millions d’euros en Europe en 2008, dont 35 millions en France. Fort de ses estimations, la compagnie a décidé de porter l’affaire devant la Commission européenne fin 2009. «Fin novembre 2009, Air France a déposé plainte auprès de la Commission Européenne concernant les mesures d’aides mises en oeuvre par les aéroports régionaux et locaux français au profit de la compagnie aérienne Ryanair», a précisé dans un communiqué Air France. La plainte recouvre plusieurs chefs d’accusation : «défaut de notification préalable», «rupture d’égalité et distorsion de concurrence», «illégalité d’aides d’État».

Air France a mené une véritable enquête avant d’agir ainsi. Elle a notamment décrypté tous les rapports des chambres régionales des comptes (CRC) sur le sujet. À partir de données parfois anciennes, croisées avec ses informations sur le terrain, ses experts ont reconstitué le puzzle des aides supposées illégales perçues par Ryanair. Il en ressort qu’en moyenne, les chambres de commerce et d’industrie, qui gèrent les aéroports, soutiennent l’activité de Ryanair en France à hauteur de 9 à 32 euros par passager embarqué.

source: Le Figaro

En 2009, Emirates a signé un partenariat stratégique technique et commercial avec Sénégal Airlines. La compagnie aérienne Sénégal Airlines devrait à nouveau opérer des vols cette année à une date non précisée et reprendra la flambeau d’Air Sénégal qui a cessé d’opérer des vols en avril 2009.

Le vol Dubaï-Dakar sera opéré cinq fois par semaine via un A340-300 de 267 sièges configuré en trois classes (12 sièges en première classe, 42 sièges en classe affaires et 213 sièges en classe économique).

Le vol 797 d’Emirates quittera l’aéroport international de Dubaï à 09H55 les mardi, mercredi, vendredi, samedi et dimanche.

Il arrivera à l’aéroport international de Léopold Sédar Senghor de Dakar à 16H00 le même jour.

Le vol de retour quittera Dakar à 17H40 pour arriver à Dubaï à 07H15 le jour suivant.

Le cheikh Ahmed bin Saeed Al-Maktoum , président d’Emirates a déclaré que Dakar serait la 19ème destination africaine de la compagnie aérienne et a qualifié cenouvel itinéraire comme une « étape significative » vers une collaboration plus étroite entre les deux nations.

Emirates a indiqué que les l’espace réservé au transport de marchandises à bord servira à développer les exportations de produits sénégalais tels que des fruits, des posions, des légumes sur me marché méditerranéen.

Actuellement aucune compagnie aérienne depuis Dakar vers Dubaï.

Continental Airlines a déclaré que ses clients pourront réserver à partir du 17 mars des sièges «avec un emplacement premium offrant plus d’espace pour les jambes en classe économique». Continental a expliqué qu’en fonction du type d’avions, ces sièges offriront au minimum 7 pouces d’espace supplémentaire pour les jambes.

Les passagers pourront acheter ces sièges de 24 heures avant le départ du vol, lors de l’enregistrement en ligne ou à l’aéroport.

La compagnie aérienne n’a pas dévoilé les détails des tarifs de ce service. Elle a seulement affirmé que «les tarifs varieront selon un certain nombre de facteurs, dont la durée du vol et la loi de l’offre et de la demande».

Les membres Elite du programme de fidélité OnePass de Continental continueront à profiter de ces sièges sans frais supplémentaires.

En annonçant ce service, Continental propose une offre de venue populaire chez nombre de ses concurrents.

Selon les données de l’Association internationale du transport aérien (IATA), le trafic mondial de passagers a progressé en janvier de 6,4 % sur un an (après + 4,5 % en décembre 2009) et de 0,5 % par rapport au mois précédent. Avec une hausse des capacités de 1,2 %, le coefficient d’occupation s’est élevé à 75,9 %, contre 72,2 % il y a un an. Le secteur, qui a subi en 2009 sa plus lourde chute d’activité (- 3,5 %, avec un taux de remplissage moyen de 75,6 %), profite de la reprise dans les pays émergents. Le trafic a crû de 23,6 % au Moyen-Orient, de 11 % en Amérique Latine et de 6,5 % en Asie-Pacifique, contre seulement + 3,1 % en Europe et + 2,1 % en Amérique du Nord. Le trafic passagers reste tout de même inférieur de 15 % au pic de 2008.

Dans le fret, la demande a augmenté de 28,3 % sur un an (après + 24,4 % en décembre 2009) et de 3 % par rapport à décembre 2009, grâce au « restockage » dans l’industrie. Avec une augmentation de 3,7 % des capacités, le coefficient d’occupation a atteint 49,6 %, contre 40,1 % un an auparavant. En 2009, le fret aérien a chuté de 10,1 % avec un taux de remplissage moyen de 49,1 %.

« Nous commençons à entrevoir quelques signes encourageants de demande, mais avec de larges différences entre régions. Nous pouvons commencer à voir l’avenir avec un optimisme prudent », estime le directeur général de l’IATA, Giovanni Bisignani. Pour autant, ce dernier anticipe pour les compagnies une perte globale de 5,6 milliards de dollars en 2010.

La compagnie belge Brussels Airlines lancera au début de la prochaine saison estivale douze vols supplémentaires par semaine à destination de l’Afrique, ainsi qu’une nouvelle compagnie régionale en RD Congo, baptisée Korongo. Pour cela, elle s’équipera d’un cinquième Airbus A330-300 (288 sièges). Coût total de l’investissement : 20 millions d’euros.

Annoncé le 23 février à Paris par son patron, Bernard Gustin, ce programme renforcera la présence de l’héritière de la Sabena dans le ciel africain. Dix-sept pays seront desservis à partir de Bruxelles par soixante vols hebdomadaires. Les nouvelles dessertes concerneront le Ghana (4 vols), le Togo (2), le Bénin (2) et le Burkina (2). Gustin table sur une expansion du trafic africain et l’essor du « hub africain » de Bruxelles. Il espère au moins 100 000 passagers supplémentaires en 2010 (+ 15 % par rapport à 2009). L’Afrique représente environ 12 % du trafic global de Brussels Airlines, qui vient de consolider son assise financière en accueillant dans son capital la compagnie allemande Lufthansa (à hauteur de 45 %) et en adhérant à son réseau mondial, Star Alliance.

source: Jeune Afrique

Le trafic international de passagers aériens a progressé de 6,4% en janvier sur un an grâce à une reprise de la croissance dans les pays émergents, a indiqué mardi l’Association internationale du transport aérien (IATA), soulignant que ces chiffres étaient « encourageants ». La demande pour le fret aérien a également augmenté, de 28,3% sur un an ou de 3% par rapport au mois précédent, poussé par un phénomène de restockage dans l’industrie, a précisé l’IATA dans un communiqué.
« Nous commençons à entrevoir quelques signes encourageants de demande, mais avec de larges différences entre régions », a souligné le directeur général de l’organisation, Giovanni Bisignani, cité dans le communiqué.

La reprise dans le trafic de passagers a été particulièrement notable au Moyen-Orient, où la croissance a fait un bond de 23,6%, en Amérique latine (+11%) et en Asie-Pacifique (+6,5%). La croissance a en revanche été plus modeste en Amérique du Nord et en Europe, où les compagnies aériennes ont respectivement enregistré une hausse de 2,1% et 3,1% du trafic de passagers.

source: Le Figaro